Pour vous aider, retrouvez ici les questions les plus fréquentes concernant les Viandes d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Les viandes de France sont reconnaissables aux différents logotypes arborant la forme et les couleurs de la France : Le Porc Français, Viande Bovine Française, Viande de Veau Française, Lapin de France et Viande de Chevreau Française. Présente sur les étiquettes des emballages, la signature « Viandes de France » vous garantit des viandes et produits provenant d’animaux nés, élevés, abattus, découpés et transformés en France. C’est pour le consommateur la certitude que les conditions de production respectent l’environnement, le bien-être animal, ainsi que des normes sanitaires très strictes.
La démarche AGRI Rhône-Alpes vous permet de renouer avec la qualité et le goût de notre terroir. Partenaire des Viandes de France, elle valorise une viande issue d’animaux nés en France ou en Rhône-Alpes, élevés et transformés en Rhône-Alpes. Elle s’appuie sur des cahiers des charges rigoureux, qui lui permettent de garantir une traçabilité totale et une fraîcheur optimale.
La charte des bonnes pratiques d’élevage est une démarche qui garantit que les éleveurs veillent à la traçabilité de leurs animaux, à leur confort et à leur santé. Ils s’engagent à distribuer une alimentation équilibrée et de l’eau à volonté. Priorité de l’Union Européenne, l’élevage fait l’objet de dispositions réglementaires visant à assurer le bien-être des animaux et éviter toute souffrance. Des mesures strictes sont imposées sur la conception des bâtiments, l’aménagement des installations et la manipulation des animaux dans le souci d’assurer leur confort, mais également la sécurité des éleveurs.
Conservez-la dans la partie la plus froide de votre réfrigérateur (entre 0°C et +4°C). Évitez de la placer dans des boites hermétiques en plastique ou dans du papier d’aluminium. Il est préférable de laisser vos produits dans leur emballage spécialement conçu pour optimiser la conservation.
Dans la catégorie « viande transformée » se trouve la viande qui a été transformée par salaison, maturation, fermentation, fumaison ou autres processus mis en œuvre pour rehausser sa saveur ou prolonger sa conservation. Par exemple, dans les viandes transformées, on trouve le jambon, les saucisses, le corned-beef, les lanières de bœuf séché, les viandes en conserve, ainsi que les préparations et sauces à base de viande.
Il est recommandé de consommer de la viande, du poisson ou des œufs 1 à 2 fois par jour en alternance. Une portion de viande équivaut à 100 g, soit par exemple un steak haché, une escalope de veau, 2 tranches de jambon blanc… Attention, les enfants n’ont pas les mêmes besoins qu’un adulte, veillez à réduire les portions de moitié.
La viande (bœuf, veau, porc, etc.) possède un intérêt nutritionnel non négligeable : elle est riche en protéines de bonne qualité et en fer. Les protéines jouent un rôle essentiel dans la croissance, la reproduction, l’immunité, la constitution des os, des muscles et de la peau. Les protéines provenant de la viande contiennent tous les acides aminés indispensables à l’organisme.
Lors de vos achats, il est recommandé d’utiliser des sacs isothermes pour conserver à la bonne température les viandes de boucherie pendant le transport. Ensuite, il faut veiller à respecter les températures indiquées sur les étiquettes en rangeant les viandes à cuire dans la partie la plus froide de votre réfrigérateur entre 0°C et 4°C.
La date limite de consommation indique une limite impérative, notamment pour les produits fragiles comme la viande hachée. Consommez toujours le produit avant cette date d’expiration.
Fiez-vous à sa date limite de consommation. Toutefois, même si la DLC est encore valable, il arrive que la viande s’abime : si elle dégage une mauvaise odeur, aigre ou désagréable, il est fort possible qu’elle ne soit pas bonne à manger. Quelquefois, la viande avariée présente une texture visqueuse, mais aussi des traces vertes, noires ou blanchâtres : ne la consommez en aucun cas. De même, si l’emballage plastique a gonflé, jetez le produit.
Depuis une dizaine d’années, les Français ont réduit leur consommation de viandes de boucherie (c’est-à-dire le bœuf, le veau, l’agneau, le porc frais et la viande chevaline). En moyenne, la consommation hebdomadaire actuelle est de 370 g, soit 3 à 4 portions par semaine. Sources : enquêtes CREDOC, CCAF 2013 (adultes de 18 ans et plus).
Manger de la viande n’est pas mauvais pour la santé.
Les recommandations de santé publique préconisent de limiter la viande rouge à moins de 500g par semaine. L’important c’est l’équilibre alimentaire, seul gage de forme, de plaisir et de santé. L’aliment idéal n’existe pas, aucun n’étant assez complet pour couvrir à lui seul tous les besoins nutritionnels. L’équilibre nutritionnel est donc assuré par la consommation d’aliments variés au cours des différents repas.
La viande est particulièrement riche en protéines essentielles à l’organisme. Les protéines de la viande ont l’avantage d’être de très bonne qualité puisqu’elles contiennent tous les acides aminés indispensables en proportions équilibrées et sont bien assimilées par l’organisme. Les viandes contribuent essentiellement aux apports en vitamines du groupe B : B3, B6 et B12. La vitamine B12 est indispensable à la formation des globules rouges et donc au transport de l’oxygène. Elle participe également au bon fonctionnement du cerveau. Cette vitamine est uniquement présente dans les produits d’origine animale.
De plus, les viandes sont particulièrement riches en fer qui est indispensable à la formation des globules rouges et au transport de l’oxygène dans l’organisme ; il participe également au fonctionnement du système immunitaire.
Non seulement la viande apporte beaucoup de fer mais il s’agit majoritairement d’une forme particulière de fer, appelée fer « héminique ». Celui-ci est beaucoup mieux assimilé par l’organisme que le fer « non héminique » contenu dans les aliments d’origine végétale. Enfin la viande apporte d’autres nutriments indispensables : zinc, sélénium, vitamines B3 et B6.
L’idéal reste de consommer tous les jours des aliments parmi les sept groupes, en profitant de la diversité des aliments pour jouer la variété.